J’ai toujours cru que faire les choses selon un plan facilitait la réalisation de ce que vous aviez prévu de faire, eh bien, quand il s’agit de courir un Marathon, c’est la clé. Lors de mon troisième Marathon après Valencia en 2017 et Madrid en 2019, j’ai voulu courir a Nantes, ma chérie Nantes, où j’ai vécu certains des moments les plus importants de ma vie…

La première chose, on constate une meilleure tendance dans le nombre de kilomètres de préparation. Attention l’hécatombe du 3ème et 4ème mois à Valencia 2017…

Comme dans presque toutes mes courses, je commence avec un rythme inférieur à la façon dont je finis. Au “semi-marathon de Latina” et au “semi-marathon de Madrid” (il y a cinq et deux semaines respectivement), j’ai fait la même chose, la première moitié lentement, la deuxième moitié a fond !

En plus des trois jours de running par semaine, une séance cardio, un peu de stretching et physiothérapie toutes les deux semaines (merci Sandra !), et surtout le soutien de mes chers amis Hicham, Audrey et leur enfants N et I:-) Vous me manquez déjà ! La prise de gels et de nourriture était super systématique, la prise d’eau tous les 5km, la même chose, et quelques deux arrêts pour faire pipi aussi 🙂 C’est comme ça que j’ai réussi à ne commencer à marcher qu’au km 40 ou presque (au hangar a bananes), et pas plus de quelques metres…

Voilà ces photos du Marathon… Je peux vraiment dire que j’ai super bien profité de cette course du début à la fin. Après 2 ans et demi que j’avais signé, je voulais déjà en finir avec ce sourire et tellement content !!!


Et voilà l’hommage à ma petite H: Ça fait 9 ans que je t’ai promis que je courrais ce Marathon à un moment donné… ici tu as ma promesse remplie mon amour.
Alberto
Analyste SIG, père fier et homme d’énergie exultant jusqu’au km 42,195 🙂
Well done Alberto!!!